L’intelligence émotionnelle
par Daniel Goleman
Tome I et II
Société, psycho, coaching
30 septembre 2024
Daniel Goleman, le père de l’intelligence émotionnelle, a révolutionné notre conception de l’intelligence. Notre intelligence ne s’arrête pas à notre QI, elle englobe aussi la manière dont nous gérons et entretenons nos relations aux autres. C’est une autre façon d’être intelligent, et c’est une compétence que nous pouvons apprendre et perfectionner au fil du temps.
« l’intelligence émotionnelle importe autant que le QI.
En réalité, sans elle, l’intellect ne peut fonctionner convenablement. »
Daniel Goleman
J’aime bien – J’aime moins
Daniel Goleman a été le pionnier des « soft skills » (compétences douces), aujourd’hui plébiscitées en entreprise. Paru avant les années 2000, ce best-seller reste tout à fait d’actualité sur le débat entre Quotient Intellectuel (QI) et Quotient Emotionnel (QE) ainsi que sur les outils proposés pour mieux gérer ses émotions. Il est aussi solidement documenté, même si certaines études scientifiques ou études de cas sont parfois datées.
Petit bémol, il est très dense : c’est un livre « de poche » qui compte … 928 pages !
Description de l’éditeur (J’ai lu 2014, Robert Laffont 1997-1999)
Checklist Soft Skills basée sur l’Intelligence Emotionnelle
à télécharger en fin d’article
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Points clés en 1 mot (Tome I et II)
1. L’intelligence émotionnelle : nouveau baromètre de la réussite
Pendant longtemps, l’intelligence a été synonyme de quotient intellectuel. On mesurait nos capacités cognitives, notre capacité à raisonner, à résoudre des problèmes et à mémoriser. Pourtant, la vie nous a souvent démontré que l’intelligence ne se résume pas à cela. Notre capacité à gérer nos émotions, à comprendre celles des autres et à construire des relations solides est tout aussi, voire plus, importante.
C’est là qu’intervient l’intelligence émotionnelle. L’intelligence émotionnelle (IE) est un facteur déterminant pour le succès professionnel, surpassant même le quotient intellectuel (QI) et les compétences techniques. Les entreprises qui développent et exploitent cette forme d’intelligence voient une amélioration significative de leur performance et de leurs profits.
L’IE repose sur cinq piliers, appelées les compétences douces (soft skills) :
- la conscience de soi
- la motivation
- la maîtrise de soi
- l’empathie
- la maîtrise des relations (aptitude sociale)
2. L’intelligence émotionnelle au cœur de nos relations
Nos relations avec les autres sont profondément influencées par notre intelligence émotionnelle. La capacité à écouter activement, à exprimer ses emotions de manière constructive, à comprendre les points de vue des autres et à résoudre les conflits de manière pacifique est essentielle pour bâtir des relations solides et durables.
3. Education émotionnelle et prévention de la violence
Les neurosciences ont démontré que le cerveau est malléable et que nos connexions neuronales se modifient tout au long de notre vie. Cela signifie que nous pouvons apprendre à mieux gérer nos émotions et à développer notre intelligence émotionnelle à tout âge.
L’éducation joue un rôle crucial dans ce processus. En intégrant des programmes d’éducation émotionnelle dès le plus jeune âge, nous pouvons aider les enfants à développer les compétences sociales et émotionnelles dont ils auront besoin pour réussir dans la vie, notamment pour régler pacifiquement leurs différends.
4. Les bénéfices de l’intelligence émotionnelle
Les personnes ayant une grande intelligence émotionnelle sont généralement :
- Plus heureuses : elles sont mieux à même de gérer le stress et de cultiver des relations positives.
- Plus performantes : elles sont plus motivées, plus résistantes et plus créatives.
- En meilleure santé physique et mentale.
- De meilleurs leaders : elles inspirent confiance et motivation chez leurs équipes.
5. Les compétences émotionnelles dans l’évaluation des performances
Les compétences émotionnelles, telles que l’empathie, l’esprit d’initiative et l’adaptabilité, sont désormais considérées comme des critères de performance essentiels dans le monde professionnel. Elles influencent de plus en plus les décisions liées aux promotions et aux licenciements.
Pour répondre à cette nouvelle réalité, les entreprises doivent mettre en place des programmes de développement personnalisés, conçus de manière à favoriser l’acquisition de nouvelles compétences et à améliorer les performances globales des équipes.
Il est important de créer un environnement de travail où les collaboratrices et collaborateurs se sentent en confiance pour exprimer leurs émotions et recevoir des retours constructifs. Cela permettra d’identifier les besoins spécifiques de chaque individu et de mettre en place des actions de développement adaptées.
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Résumé du Tome I
Introduction : le défi d’Aristote
Pour le philosophe Aristote, la maîtrise de la colère est une étape essentielle sur le chemin du développement personnel. En apprenant à gérer nos émotions, nous pouvons vivre en harmonie avec nous-mêmes et avec les autres.
1/5 – Le cerveau émotionnel
Les émotions sont bien plus que de simples sensations. Elles sont des réactions complexes, pilotées par notre cerveau émotionnel, le système limbique. L’amygdale, une région clé de ce système, réagit instantanément aux stimuli, déclenchant des réponses émotionnelles parfois intenses et incontrôlables. Ces réactions, qu’il s’agisse de colère, de joie ou de peur, peuvent nous pousser à agir de manière impulsive, sans prendre le temps de réfléchir aux conséquences de nos actes.
Pour l’essentiel, toutes les émotions sont des incitations à l’action ; ce sont des plans instantanés pour faire face à l’existence que l’évolution a instillée en nous.
2/5 – La nature de l’intelligence émotionnelle
La bêtise de l’intelligence
Derrière un fait divers tragique – un élèves attaque son professeur avec un couteau après avoir reçu une mauvaise note – se cache la réalité d’une société qui valorise avant tout la réussite scolaire, au détriment du bien-être émotionnel L’auteur souligne que l’intelligence émotionnelle (QE) est aussi importante que le QI.
Connais-toi toi-même
En s’appuyant sur un conte japonais (voir encadré ci-dessous) et la pensée de Socrate, D. Goleman rappelle que le dialogue intérieur est notre meilleur allié ou notre pire ennemi. Les pensées qui défilent dans notre tête peuvent être sources de joie ou de souffrance. En apprenant à les observer, on peut identifier les schémas négatifs qui nous limitent et les remplacer par des pensées plus constructives.
Selon un vieux conte japonais, un jour un samouraï belliqueux somma un maître zen de lui expliquer ce qu’étaient le paradis et l’enfer. Le moine lui répondit avec mépris :
— Tu n’es qu’un rustre, je n’ai pas de temps à perdre avec des gens de ton espèce.
Se sentant insulté, le samouraï devint furieux et, tirant son épée, cria :
— Je pourrais te tuer pour ton impertinence.
— Voilà ce qu’est l’enfer, répliqua le moine calmement.
Surpris par la vérité de ces paroles, le samouraï se calma, rengaina son épée, salua le maître et le remercia de l’avoir éclairé.
— Et voilà le paradis, ajouta celui-ci.
L’esclave des passions
Maîtriser ses émotions, un art ancestral. Depuis Platon, philosophes et sages nous exhortent à cultiver la « sophrosyne », cette capacité à équilibrer ses passions. Car si les émotions sont le sel de la vie, un excès peut la rendre insupportable. L’objectif est d’apprendre à danser avec ses émotions, en les apprivoisant plutôt qu’en les réprimant.
L’aptitude maîtresse
Nulle aptitude psychologique n’est sans doute plus fondamentale que la capacité de résister à ses pulsions. C’est d’elle que dépend la maîtrise des émotions, puisque par nature celles-ci déclenchent un besoin impérieux d’agir. Souvenons-nous qu’étymologiquement émotion signifie « mettre en mouvement ».
Les racines de l’empathie
L’empathie est étroitement liée à la conscience de soi : plus une personne est sensible à ses propres émotions, plus elle sera apte à décoder celles des autres.
Des études montrent que les enfants développent très tôt cette capacité à comprendre les émotions d’autrui.
L’art de bien s’entendre avec les autres
À travers l’anecdote de deux frères, l’auteur montre que même les très jeunes enfants sont capables de ressentir de l’empathie et de tenter d’apaiser les émotions négatives d’autrui. Cependant, cette capacité varie d’un enfant à l’autre et nécessite un apprentissage.
Pour développer cette intelligence émotionnelle, il est essentiel d’apprendre à maîtriser ses propres émotions. à comprendre les émotions d’autrui et à gérer les conflits de manière constructive.
3/5 – L’intelligence émotionnelle appliquée
Ennemis intimes
L’intelligence émotionnelle a un impact très important sur les relations amoureuses. Les émotions jouent un rôle croissant dans la réussite ou l’échec d’un couple, en particulier chez les jeunes générations. Les recherches montrent que les ruptures sont souvent liées à des différences émotionnelles profondes entre les partenaires.
[NOTE PERSO : en France, selon des données récentes de l’INED, plus de 44 % des mariages se terminent par un divorce.]
Le management, une affaire de cœur
Dans le monde du travail aussi, en particulier dans le management, l’intelligence émotionnelle joue un rôle clé. Les compétences techniques ne suffisent pas à assurer la réussite d’une entreprise. Un leader doit également savoir gérer ses émotions, celles de ses équipes et favoriser un climat de confiance.
L’empathie, souvent perçue comme une faiblesse, est en réalité une force en entreprise. Un leader empathique est plus à même de motiver ses équipes et d’obtenir de meilleurs résultats.
la compassion, c’est plus que du réconfort, c’est un bon médicament.
4/5 – Possibilités
Le creuset de la famille
Les interactions familiales, qu’elles soient positives ou négatives, façonnent la manière dont l’enfant perçoit et gère ses émotions.
Traumatisme et réapprentissage émotionnel
Grâce à la thérapie, il est possible de rééduquer notre cerveau pour qu’il réagisse différemment face aux souvenirs traumatiques. La psychiatre Judith Lewis Herman identifie trois étapes essentielles pour la guérison d’un traumatisme :
1. Rétablir un sentiment de sécurité.
2. Reconstruire et réexaminer le récit de l’événement traumatique une fois la sécurité rétablie.
3. Faire le deuil des pertes causées par le traumatisme.
Tempérament et destinée
Le tempérament, inné, influence nos réactions émotionnelles. Mais l’environnement et l’éducation peuvent modifier ces tendances. Une enfance bienveillante favorise le développement d’une intelligence émotionnelle solide et prévient les troubles mentaux à l’âge adulte.
On peut ajouter à la liste des facteurs de risque psychologique le poids du silence,
et à celle des facteurs protecteurs, les liens affectifs.
5/5 – Les rudiments de l’intelligence émotionnelle
Le prix de l’ignorance
Il y a urgence à intégrer l’éducation émotionnelle dans les programmes scolaires. À partir d’un événement tragique – une fusillade dans une école -, l’auteur souligne l’importance d’enseigner aux jeunes la gestion des émotions, la résolution pacifique des conflits et l’interaction harmonieuse avec les autres.
L’éducation émotionnelle
Des exemples concrets de programmes d’éducation émotionnelle mis en place dans certaines écoles sont abordés. Le Nueva Learning Center, une école privée de San Francisco, est cité comme modèle, où les élèves commencent leur journée en évaluant leur humeur sur une échelle d’un à dix.
À la fin de ce siècle, un tiers de la main-d’œuvre américaine sera composée de « travailleurs de la connaissance », des gens dont la productivité (…) dépend de leur coordination avec l’équipe dont elles font partie.
Cela laisse penser que dans les années à venir l’intelligence émotionnelle sera de plus en plus valorisée
dans le monde du travail.
Résumé du Tome II
1/13 – Le nouvel étalon
Le monde du travail a changé. Fini les rigidités, place à la flexibilité, à l’adaptabilité et à l’intelligence émotionnelle. Les entreprises les plus performantes ont compris que pour réussir, il faut investir dans ses collaborateurs. En intégrant les compétences émotionnelles dans leurs critères d’évaluation, elles ouvrent la voie à un nouveau modèle de management, plus humain et plus efficace.
2/13 – Les compétences des meilleurs
Les compétences professionnelles ne se limitent plus à un simple savoir-faire. L’intelligence émotionnelle, la capacité à travailler en équipe et la résilience sont devenues des atouts incontournables pour réussir sa carrière. Les entreprises ont mis en place des méthodes d’évaluation pour identifier les profils les plus prometteurs. Ces méthodes permettent de distinguer les compétences essentielles, nécessaires pour accomplir les tâches quotidiennes, des compétences distinctives, qui font la différence et permettent de gravir les échelons.
3/13 – Vive les compétences douces !
Les équipes performantes l’ont prouvé : le succès ne se résume pas à des compétences techniques. L’écoute, la flexibilité et la communication font partie des compétences douces qui cimentent l’esprit d’équipe et favorisent un environnement de travail positif.
Si l’importance des compétences émotionnelles est unanimement reconnue, leur évaluation reste un défi. Pour y remédier, des initiatives comme le Consortium sur l’intelligence émotionnelle travaillent à définir des critères précis et à développer des outils d’évaluation adaptés.
La compétence émotionnelle, c’est la capacité à gérer ses émotions et celles des autres.
Elle repose sur cinq piliers :
1. la conscience de soi
2. la motivation
3. la maîtrise de soi
4. l’empathie
5. la maîtrise des relations (l’aptitude sociale)
4/13 – Le gouvernail intérieur
Ce chapitre nous plonge dans destins opposés : d’un côté, un médecin, aveuglé par la promesse de gain, abandonne sa vocation ; de l’autre, un PDG s’octroie des temps de pause en solitaire pour garder le cap et rester fidèle à ses valeurs. Ces deux exemples illustrent parfaitement l’importance de la cohérence entre nos actions et nos aspirations profondes
5/13 – Le self-control
De la maîtrise de nos émotions à l’adaptation aux changements, en passant par la fiabilité et l’innovation, le self-control est un ensemble de compétences qui nous permettent de naviguer avec assurance dans un monde complexe. Les bénéfices sont nombreux : réduction du stress, amélioration des relations, renforcement de la confiance en soi et réussite professionnelle.
6/13 – Émotion et motivation
En s’inspirant du parcours professionnel de Joe, soudeur dans une usine d’assemblage de wagons à Chicago, les qualités qui permettent de réussir professionnellement ne sont pas tant le QI que l’exigence de réussite, l’engagement, l’esprit d’initiative et l’optimisme. Ces qualités, qui se développent tout au long de la vie, nous permettent de nouer des relations solides, de résoudre des conflits et de trouver des solutions créatives.
7/13 – Le radar social
L’auteur cite l’exemple d’une entreprise américaine menacée par un conflit interne. La résolution de la crise a nécessité bien plus que des compétences techniques : c’est l’intelligence émotionnelle, la capacité à comprendre les enjeux humains et à favoriser la collaboration, qui a permis de débloquer la situation. Cet exemple illustre parfaitement comment les relations interpersonnelles peuvent influencer la performance d’une organisation.
8/13 – Les techniques de l’influence
Plusieurs compétences sont essentielles pour développer son influence et réussir dans les relations professionnelles. Parmi celles-ci, on retrouve : la maîtrise de l’art de la persuasion, la clarté de la communication, la gestion efficace des conflits, un leadership inspirant, une grande adaptabilité, la capacité à construire des relations solides, une empathie développée et une assurance à toute épreuve. En maîtrisant ces techniques, chacun(e) peut devenir un acteur clé dans le succès de son équipe et de son organisation.
Diriger, c’est distribuer de l’énergie
9/13 – Collaboration, équipes et QI collectif
La performance d’une équipe ne se résume pas à la somme des talents individuels. C’est la manière dont ces talents interagissent, se complètent et se stimulent mutuellement qui fait la différence. Les entreprises les plus innovantes ont compris que l’intelligence collective est le moteur de leur croissance. En favorisant la collaboration, la diversité et la confiance au sein de leurs équipes, elles décuplent leur potentiel créatif et leur capacité à s’adapter aux évolutions du marché.
10/13 – Une erreur de 6 millions de francs
Pendant longtemps, les formations en compétences émotionnelles ont été considérées comme une panacée pour résoudre tous les problèmes relationnels en entreprise. Mais de nombreuses entreprises ont mis en place des programmes de formation sans véritablement évaluer leur impact. Un système d’évaluation rigoureux permet d’identifier les programmes les plus efficaces et d’ajuster sa stratégie en conséquence.
11/13 – Les pratiques les plus efficaces
L’évaluation des compétences émotionnelles est un processus essentiel pour mettre en place des programmes de développement personnalisés et efficaces au sein d’une entreprise ou d’une organisation. Les méthodes d’évaluation sont multiples : auto-évaluation, évaluation par les pairs, évaluation par le supérieur hiérarchique.
Pour assurer la réussite de l’évaluation, il est important de créer un environnement de confiance où les individus se sentent à l’aise pour s’exprimer et recevoir des feedbacks constructifs. La communication des résultats doit être faite avec tact et bienveillance, en mettant l’accent sur le développement personnel plutôt que sur une simple notation.
12/13 – Prendre le pouls de l’entreprise
Pour réussir, les entreprises doivent non seulement maîtriser les aspects techniques et stratégiques, mais aussi accorder une attention particulière à la dimension humaine. En créant un environnement de travail où les émotions sont reconnues, comprises et gérées de manière constructive, les entreprises peuvent améliorer leurs performances, renforcer leur culture et favoriser l’engagement de leurs collaborateurs.
13/13 – Le cœur de la performance
D. Goleman plaide pour une approche holistique de la performance professionnelle qui prend en compte non seulement les compétences techniques, mais aussi les facteurs humains et contextuels :
• L’importance du contexte économique et social
• Le rôle de la communication et du feedback
• L’importance d’un environnement de travail favorable
• Le développement des compétences émotionnelles
• La nécessité d’un apprentissage continu
En conclusion (Tome I et II)
Ce livre souligne l’importance croissante de l’intelligence émotionnelle dans un monde en constante mutation. Il plaide pour une transformation des systèmes éducatifs et des environnements de travail afin d’intégrer le développement de ces compétences. En favorisant la créativité, la collaboration et l’épanouissement personnel, l’intelligence émotionnelle devient un atout incontournable pour réussir dans un monde complexe et exigeant.
À propos de Daniel Goleman
Daniel Goleman, psychologue américain né le 7 mars 1946 à Stockton en Californie, est diplômé de l’université Harvard et titulaire d’un doctorat en psychologie clinique et développement personnel. Après ses études, il devient journaliste au New York Times, où il se spécialise dans les sciences du comportement. En 1995, il publie son ouvrage phare, Intelligence émotionnelle, qui connaît un immense succès international et est traduit en 40 langues. Goleman siège également au conseil d’administration du Mind and Life Institute, une organisation qui favorise les échanges entre la science et le bouddhisme, et il est membre de l’Association américaine pour le progrès de la science.
danielgoleman.info
Barbara Reibel
Coach Happiness, Formatrice, Autrice et Blogueuse
Fondatrice du site Happiness Factory et des blogs En 1 mot & Humour Me By Barbara
Happiness Factory
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