la vie secrète des arbres

La vie secrète des arbres
par Peter Wohlleben

Nature, société

27 avril 2022

[social_warfare]

Temps de lecture : 11 min

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Ce livre a bouleversé notre vision de la forêt. Loin d’être passifs, les arbres font partie d’un écosystème très sophistiqué qui, à la manière d’un « Wood Wide Web », leur permet de s’entraider, d’échanger des nutriments et de se transmettre des informations précieuses sur leur environnement. Après avoir lu ce livre, on n’a qu’une envie : aller faire une balade en forêt !

« Quand j’ai commencé ma carrière de forestier, j’en savais à peu près autant sur la vie secrète des arbres qu’un boucher
sur la vie affective des animaux.  »

Présentation de La vie secrète des arbres (Les Arènes, 2017)

Les citadins regardent les arbres comme des « robots biologiques » conçus pour produire de l’oxygène et du bois. Forestier, Peter Wohlleben a ravi ses lecteurs avec des informations attestées par les biologistes depuis des années, notamment le fait que les arbres sont des êtres sociaux. Ils peuvent compter, apprendre et mémoriser, se comporter en infirmiers pour les voisins malades. Ils avertissent d’un danger en envoyant des signaux à travers un réseau de champignons appelé ironiquement « Wood Wide Web ». La critique allemande a salué unanimement ce tour de force littéraire et la manière dont l’ouvrage éveille chez les lecteurs une curiosité enfantine pour les rouages secrets de la nature.

Qu’apprend-on dans La vie secrète des arbres ? 

 

Avec 36 chapitres bourrés d’informations précieuses, parfois surprenantes, souvent insolites, ce livre est très dense et pourrait vite devenir ennuyeux s’il ne se lisait pas comme un roman. 

Plus proche d’une histoire palpitante que d’un exposé scientifique, La vie secrète des arbres nous tient en haleine du début à la fin. L’auteur se base sur des faits et des études scientifiques ainsi que sur son expérience de garde-forestier pendant plus de 20 ans pour nous faire découvrir l’univers insoupçonné de la forêt.

Une fois la dernière page tournée, on n’a qu’une envie : aller faire une balade en forêt !

Voici ses principaux enseignements, chapitre par chapitre.

 

Chapitre 1 : Amitiés

 

Les arbres ont un comportement social, ils se soutiennent mutuellement via leurs racines.

 

Chapitre 2 : Le langage des arbres

 

Les arbres émettent des substances odorantes et des signaux électriques en cas d’invasion de parasites. Ces substances sont fabriquées sur mesure car les arbres savent reconnaître les espèces qui s’en prennent à eux grâce à leur salive.

 

Chapitre 3 : Aide sociale

 

Les arbres compensent mutuellement leurs faiblesses et leurs forces via leurs racines. Qui est bien nanti donne généreusement et qui peine à se nourrir reçoit de quoi améliorer son ordinaire. Le système fonctionne un peu comme nos services d’aide sociale. 

 

Chapitre 4 : Le temps des amours

 

Le cycle de reproduction des arbres dépend de l’espèce auquel ils appartiennent. Les conifères lâchent leurs graines dans la nature tous les ans, car les animaux ne trouvent aucun intérêt à la consommation de leurs fruits. A l’inverse, les feuillus fleurissent à intervalles de plusieurs années (3 à 5 ans), pour éviter que la population de sangliers et de chevreuils, friande de faînes et de glands, ne se reproduisent en nombre trop important et ne ratissent des territoires forestiers entiers.  

 

Chapitre 5 : Chances et malchances

 

D’après les statistiques, un arbre engendre un seul et unique successeur, lequel prendra sa place le moment venu. Si l’on considère qu’un hêtre produit au total environ 1,8 million de faînes, et qu’une seule deviendra un arbre, c’est un peu comme avoir les six bons numéros au Loto !  

 

Chapitre 6 : Éloge de la lenteur

 

Les arbres-mères recouvrent leur progéniture de leurs immenses houppiers afin de les renforcer et de les rendre plus résistants. Seuls 3 % des rayons du soleil filtrent jusqu’à eux. Il faut attendre qu’un grand arbre s’effondre, pour que la descendance puisse pousser et prendre sa place. 

 

Chapitre 7 : Bonne conduite et règlement intérieur 

 

La silhouette d’un arbre doit être équilibrée, pour amortir et répartir les pressions de façon égale sur l’ensemble de son corps. Lorsque son tronc n’est pas rectiligne, c’est généralement le fait des conditions environnementales (neige, vent, emplacement à l’orée d’une forêt ou près d’un lac,…) et l’arbre n’atteindra pas l’âge avancé auquel son espèce le prédestine.

 

Chapitre 8 : À l’école

 

Les arbres supportent mieux la faim que la soif. Or un hêtre adulte peut envoyer dans ses branches et ses feuilles jusqu’à 500 litres d’eau par jour ! Les arbres doivent donc apprendre à se modérer afin de pouvoir s’adapter à une éventuelle sécheresse qui leur serait fatale. Des études ont mis en lumière un autre phénomène extraordinaire: en cas de soif intense, les arbres commencent à “crier” : ils émettent des ultrasons non perceptibles par l’oreille humaine ! 

 

Chapitre 9 : Échange de bons services 

 

Avec le concours du mycélium, un arbre peut démultiplier la surface utile de ses racines, et donc pomper sensiblement plus d’eau et de nutriments. Le champignon partenaire développe son propre réseau de filaments dans le sol alentour pour se connecter aux champignons et aux racines de chaque nouvel arbre rencontré. Il en résulte un vaste réseau au sein duquel les échanges aussi bien de nutriments que d’informations, par exemple sur l’imminence d’une attaque d’insectes, vont bon train. Les champignons sont en quelque sorte l’Internet de la forêt, le “Wood Wide Web”.

 

Chapitre 10 : Histoires d’eau

 

Comment l’eau contenue dans le sol parvient-elle jusqu’aux feuilles quand les houppiers mesurent parfois plus de 100 mètres de hauteur ? Aucun phénomène connu, de la capillarité à la transpiration, ne permet de l’expliquer. C’est donc un mystère à élucider !

 

Chapitre 11 : Montre-moi ton écorce, je te dirai ton âge

 

L’écorce des arbres remplit exactement les mêmes fonctions que notre peau et protège pareillement les fragiles organes internes de l’arbre des agressions extérieures. De même que l’aspect de notre peau et de notre chevelure renseigne sur notre âge, l’aspect de l’écorce (craquelée) et du houppier (dégarni) nous renseignent sur l’âge d’un arbre !

 

Chapitre 12 : Le chêne, un chétif ?

 

Les chênes de nos forêts tempérées ne font pas le poids contre les hêtres. Comment un arbre aussi fragile a-t-il pu devenir un symbole de résistance et de longévité ? En réalité, si l’espèce peut paraître inférieure au hêtre dans la plupart des forêts, elle est forte et solide quand elle n’a pas de concurrence. En milieu ouvert un chêne va facilement dépasser 500 ans. 

 

Chapitre 13 : Une place pour chacun 

 

Une fois qu’une graine a germé, les dés sont jetés : la jeune pousse est liée à vie au micro-lopin de terre que le hasard lui a attribué et force lui est de s’en accommoder. 

 

Chapitre 14 : Arbre ou pas arbre ?

 

Quand un vieil arbre est coupé, sa souche multicentenaire est maintenue sous perfusion par ses congénères pour qu’elle ne meure pas. Il est possible qu’elle soit le siège d’une sorte de “cerveau” de l’arbre. Ses racines présentent en effet un système de transmission des signaux, mais aussi des structures et des molécules que l’on observe également chez les animaux. Les arbres seraient-ils intelligents ?

 

Chapitre 15 : Dans le noir

 

La biomasse d’une forêt se trouve pour moitié dans le sol. La plupart des organismes qui y vivent sont invisibles à l’œil nu ce qui explique sans doute que nous leur manifestons si peu d’intérêt. Une poignée de terre forestière contient plus d’organismes vivants qu’il y a d’êtres humains sur Terre. Une cuillère à café contient déjà à elle seule un kilomètre de filaments de champignons. Tous ces organismes ont une action sur le sol ; ils le modifient, l’amendent, lui donnent sa valeur pour les arbres. Or cette biodiversité est menacée par la disparition des forêts primaires, les nouvelles forêts plantées par l’homme ne présentant pas la même richesse du sous-sol.

 

Chapitre 16 : Des aspirateurs à CO2 géants

 

La forêt est un gigantesque aspirateur à CO2 dont elle absorbe et stocke en permanence les composés organiques volatils. Une partie du CO2 est rejetée dans l’atmosphère à la mort du végétal, mais la plus grande part reste acquise à l’écosystème. L’augmentation actuelle de la concentration de CO2 dans l’air provoque une croissance rapide des arbres qui n’est pas saine, car les arbres-vieillards sont nettement plus productifs que les jeunes blancs-becs, et sont de précieux alliés des hommes dans leur lutte contre le réchauffement climatique.

 

Chapitre 17 : Climatisation et régulation

 

Les arbres n’apprécient pas les grandes variations de température et d’humidité. Il semble bien que les arbres aient le pouvoir d’influer sur leur environnement climatique. 

 

Chapitre 18 : La pompe à eau

 

La forêt est la forme de végétation présentant la plus grande surface foliaire. Chaque mètre carré de forêt correspond à 27 mètres carrés de feuilles et d’aiguilles de houppier. Une partie des précipitations se dépose sur le feuillage et s’évapore presque aussitôt. S’y ajoutent en été jusqu’à 2 500 mètres cubes d’eau par kilomètre carré que les arbres absorbent et rejettent dans l’atmosphère par transpiration. 

La vapeur d’eau qui en résulte forme des nuages qui se déplacent vers le centre des continents et se dissolvent de nouveau en pluie. Le mécanisme se répète à l’infini, de sorte que même les régions les plus éloignées de la mer sont arrosées. À une condition : qu’il y ait de la forêt, depuis le bord de la mer jusqu’au point le plus reculé du continent. Si jamais le premier maillon fait défaut, s’il n’y a pas de forêt en bord de mer, le système s’effondre. 

 

Chapitre 19 : Rapports de force

 

Chaque espèce a pour ambition de prendre chez les autres ce dont elle a besoin pour survivre. C’est la raison pour laquelle la plupart des espèces ont développé un comportement inné qui préserve la forêt du pillage. Car un groupe trop avide, qui prend beaucoup sans donner, se condamne à l’extinction par destruction de ses moyens d’existence. 

 

Chapitre 20 : Habitat social et mixité 

 

Les arbres adultes ont la préférence des pics, des martres et des chauves-souris car leurs épaisses parois isolent bien de la chaleur et du froid. Les pics donnent les premiers “coups de pioche » au tronc puis laissent les champignons poursuivre le travail. Au fur et à mesure de l’agrandissement du trou par colonisation des champignons, il deviendra l’habitat de la sitelle torchepot, des chauves-souris, des chouettes…

 

Chapitre 21 : Les ravitailleurs de la biodiversité

 

La plupart des animaux liés aux arbres ne leur font aucun mal. Ils profitent uniquement des milieux particuliers qu’offrent les troncs ou les houppiers dont les conditions d’ensoleillement et les différentes zones humides créent des petites niches écologiques. Un arbre qui meurt ne disparaît jamais tout à fait. Les substances nutritives que l’arbre a puisées dans le sol et stockées dans son bois et son écorce pendant des siècles constituent un trésor d’une grande richesse pour ses enfants. 

 

Chapitre 22 : Quand l’hiver arrive

 

À la fin de l’été, une atmosphère singulière règne sur la forêt. Les arbres semblent attendre la fin d’une saison qui leur a demandé beaucoup d’effort, comme pour nous après une journée de travail intense. Sous l’écorce, dans les racines, les réservoirs sont pleins. Les arbres doivent suspendre toute activité aux premiers grands froids pour éviter que l’eau qu’ils contiennent ne gèle. Les feuillus se délestent de leurs feuilles pour limiter les dommages dus à la neige ou au givre.

 

Chapitre 23 : Notion du temps et contretemps

 

Il semblerait que les arbres sachent compter ! La chute et le renouvellement du feuillage dépendent non seulement des températures, mais aussi de la longueur des jours.

 

Chapitre 24 : Question de caractère

 

Des arbres qui bénéficient de conditions naturelles identiques (sol, ressources en eau, et microclimat) peuvent présenter des comportements différents en matière de chute et de renouvellement de leur feuillage. Comme si leur “caractère” impactait ce processus !

 

Chapitre 25 : L’arbre malade

 

La plupart des espèces d’arbres peuvent atteindre un très grand âge, entre 400 et 500 ans pour les hêtres ou les chênes. En temps normal, l’arbre répartit précisément ses forces pour respirer, « digérer » sa nourriture, fournir ses amis-champignons en sucres, grandir un peu et alimenter la réserve latente destinée à la lutte contre les parasites. Cette réserve contient des substances répulsives tout à fait performantes que l’on appelle des phytoncides. Si le subtil équilibrage de l’énergie entre la croissance et le système de défense est mis en péril, l’arbre peut tomber malade ou être sujet aux blessures. En revanche, s’il referme sa blessure et surmonte le dommage infligé à son tronc (généralement par les champignons et les insectes), un arbre vit aussi longtemps que ses camarades intacts. 

 

Chapitre 26 : De la lumière !

 

Dans la forêt, on se bat pour la moindre parcelle de soleil. Tout en haut de l’édifice, à l’étage des chefs, les houppiers des hêtres, épicéas et autres pins s’étalent sans vergogne et captent 97 % de la lumière solaire. Leur progéniture est programmée pour survivre avec le peu de luminosité qu’ils laissent filtrer, et elle a toujours droit à des perfusions de nourriture par les racines. Fabriquer du bois consomme des quantités phénoménales d’énergie. Le tronc d’un hêtre adulte a besoin pour sa croissance du même volume de sucres et de cellulose qu’un hectare de blé. On peut comprendre qu’il lui faille non pas une mais 150 années pour se former !

 

Chapitre 27 : Les enfants des rues

 

Les arbres urbains sont les parents pauvres de la forêt. Sous la chaussée ou le trottoir, la terre est d’une dureté formidable : impossible d’étendre leurs racines ! Le coup est rude, car les essences forestières développent leurs racines moins en profondeur (pas plus de 150 cm) qu’en surface. 

 

Chapitre 28 : Les pionnières

 

Il existe des espèces fondamentalement individualistes qui n’ont de goût ni pour le confort ni pour la communauté, et fuient la promiscuité de la forêt. Ces espèces dites pionnières préfèrent grandir loin de leurs mères. Leurs graines sont adaptées à ce choix de vie. 

 

Chapitre 29 : Cap au nord !

 

L’exploration de nouveaux espaces est une nécessité due à la modification permanente du climat. Cette modification s’effectue sur plusieurs siècles, elle est très lente.

Les forêts de nos contrées sont en pleine migration, en raison du réchauffement climatique actuel, mais aussi du passage de la dernière période glaciaire à une période interglaciaire, plus chaude.

 

Chapitre 30 : Lents et très résistants

 

Pourquoi les arbres vivent-ils aussi longtemps ? Toute possibilité d’adaptation rapide étant exclue, les arbres possèdent une grande capacité d’adaptation aux aléas climatiques et aux différents parasites. Par ailleurs, dans une forêt naturelle, les arbres d’une même espèce possèdent des patrimoines génétiques extrêmement différents. Même en cas de catastrophe climatique, l’essentiel de la forêt se maintient. 

 

Chapitre 31 : Avis de tempête / Les aléas climatiques 

 

Les tornades, les orages, les chutes de neige importantes, la foudre … des phénomènes atmosphériques violents ou conjugués se produisent en moyenne tous les 10 ans. Un arbre est donc susceptible de devoir y faire face jusqu’à 50 fois au cours de sa vie.

 

Chapitre 32 : Les nouveaux venus

 

La migration des arbres induit une transformation continuelle de la forêt, même s’il faut plusieurs générations humaines pour la percevoir. L’un de ces changements est l’arrivée de nouvelles espèces. Celles-ci peuvent donner l’impression d’être supérieurs aux espèces locales les premières années de leur développement, mais sont plus fragiles et leur survie à long terme est incertaine. 

 

Chapitre 33 : Le bon air de la forêt

 

L’air est beaucoup plus pur sous les arbres, car ils agissent comme de véritables filtres et assainissent l’air en piégeant les particules en suspension. Le « cocktail de messages positifs » excrété par les arbres est l’une des raisons pour lesquelles nous nous sentons si bien dans les forêts intactes car nous possédons instinctivement la capacité de percevoir l’état de santé d’une forêt. Dans les écosystèmes artificiels vulnérables, les arbres échangent plus de signaux d’« appels à l’aide » que de bien-être et ces messages parviennent à notre cerveau. 

 

Chapitre 34 : Pourquoi la forêt est-elle verte ?

 

La couleur des organismes vivants et des objets est déterminée par la couleur de la lumière réfléchie. Chez les arbres, il s’agit du vert, car la chlorophylle absorbe la majeure partie du spectre lumineux visible sauf la couleur verte qu’elle ne peut pas exploiter. La nature nous séduit en réfléchissant un “rebut” ?

 

Chapitre 35 : Retour à la forêt primaire 

 

Dans les régions fortement urbanisées du centre de l’Europe, la forêt est perçue comme le dernier paysage intact où laisser son âme vagabonder. Pourtant, aucun de nos paysages n’est plus intact. Heureusement, un retour à la forêt primaire s’effectue lentement. Dans une zone protégée, la première génération naturelle d’arbres se développe un peu comme les enfants des rues. Les essences qui composent la forêt n’ont pas encore retrouvé leur équilibre naturel. Il faut donc prévoir du temps pour obtenir le résultat escompté et se préparer à une phase de transformation particulièrement rude durant les premières décennies. 

 

Chapitre 36 : Plaidoyer pour le respect des arbres 

 

Les grands végétaux n’ont pas de cerveau, ils ne peuvent se déplacer que très lentement, leurs préoccupations sont sans rapport avec les nôtres et leur quotidien se déroule dans un ralenti extrême. Comment s’étonner que les arbres soient traités comme des choses ? Pourtant, nous devons veiller à ne pas puiser dans l’écosystème forestier au-delà du nécessaire et à traiter les arbres comme nous traitons les animaux, en leur évitant des souffrances inutiles. 

L’exploitation du bois doit se faire dans le respect des besoins spécifiques des arbres. Cela signifie qu’ils doivent pouvoir satisfaire leurs besoins d’échange et de communication, qu’ils doivent pouvoir croître dans un véritable climat forestier, sur des sols intacts, et qu’ils doivent pouvoir transmettre leurs connaissances aux générations suivantes.

Les forêts ne sont pas des usines à produire du bois ou des stocks de matières premières et accessoirement l’habitat de milliers d’espèces, ainsi que la sylviculture moderne a tendance à le penser. Quand elles peuvent se développer naturellement, dans le respect de leurs besoins spécifiques, elles remplissent des fonctions que de nombreux règlements forestiers placent juridiquement au-dessus de la production de bois, notamment la protection (contre les risques naturels, les catastrophes, etc.) et le loisir. 

 

La vie secrète des arbres en audio

 

 

J’aime bien 👍

    • L’originalité du sujet

    • La qualité pédagogique du récit
    • Le changement de regard sur la forêt

    • Apprendre que les forêts sont structurées comme par exemple les fourmilières. 

J’aime moins 👎

  • La densité des informations 

Peter Wohlleben

peter wohlleben

Peter Wohlleben est ingénieur diplômé et a travaillé en tant que garde forestier dans les forêts du Land de Rhénanie-Palatinat pendant vingt ans..

Il est auteur de nombreux livres dont La Vie au cœur de la forêt, L’Horloge de la nature et La Vie secrète des animaux. La vie secrète des arbres, écoulé à plus d’un million d’exemplaires depuis sa sortie, la été traduit en 25 langues.

son site : http://www.peter-wohlleben.de/

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Barbara Reibel Coach Happiness

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Coach Happiness, Formatrice, Autrice et Blogueuse
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2 Commentaires

  1. Cornélia

    Je l’ai lu à sa sortie! Avant j’aimais déjà les arbres mais maintenant je les respecte, je les admire et ils sont mes amis! Très bon livre, un peu dense certes, mais que tout le monde devrait lire.

    Réponse
    • Barbara Reibel

      Oui, tout à fait d’accord !
      Belle journée – dans la nature 😉
      Barbara

      Réponse

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