Transurfing par Vadim Zeland

New Age

21 mars 2014

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Temps de lecture : 7 min
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Le Transurfing, terme forgé par Vadim Zeland, se veut un modèle quantique de développement personnel destiné à nous permettre de créer notre réalité.

«  La réalité se trouve en dehors de vous aussi longtemps que vous le croyez. »

Présentation de Transurfing (éditions Exergue)

Transurfing, c’est une technique de développement personnel mise au point par Vadim Zeland. Transurfing nous apprend que nous pouvons créer nous-mêmes la réalité que nous souhaitons et que nous aimons. Pour cela, il suffit d’appliquer une technique simple, fondée sur les lois de la physique quantique. 

Modèle quantique de développement personnel 

La physique quantique repose sur plusieurs vérités improbables appelées “postulats”. Selon ces lois, un micro-objet apparaît comme une particule dans certains cas, comme une vibration dans d’autres.
 
Les scientifiques, incapables d’interpréter ce dualisme, ont donc accepté que les choses sont ainsi, un peu comme si l’on disait qu’un éléphant se comporte parfois comme un serpent, parfois comme un bâton.

Qu’apprend-on dans Transurfing ?

Chapitre I : Le modèle des variantes

La réalité peut se manifester d’un nombre infini de manières à partir de l’espace des variantes, qui contient l’information sur tout ce qui a été, qui est et qui sera.

Notre destin se représente également par une multitude de variantes. Si l’on admet que les radiations de l’énergie mentale matérialisent une variante potentielle, maîtriser sa destinée se résume donc à une chose très simple : faire un choix.

Les pensées ont le même impact sur le destin de l’homme que ses actions car toutes les manifestations matérielles sont constituées par l’énergie.

A chaque fois que l’on pense à quelque chose, la fréquence de l’énergie mentale s’accorde à une certaine zone de l’espace des variantes, et celle-ci commence à se matérialiser.

Si l’on réagit négativement en présence d’obstacles, nos ondes mentales se replacent sur une ligne où il y a encore plus d’obstacles. Il ne faut donc pas essayer de changer le scénario mais choisir la variante que nous aimons le plus. Sur la base du modèle des variantes, nous créons notre propre destin

Chapitre II : Les balanciers

Une structure se crée quand les pensées d’un groupe de personnes sont focalisées dans une même direction. Alors, les paramètres de leur énergie mentale deviennent semblables et une structure indépendante d’information se crée et vit sa propre vie, faisant en sorte que ceux qui ont pris part à sa création obéissent à ses lois : ce sont des “balanciers d’énergie”. Ils ont leur propre fréquence vibratoire caractéristique, que l’on appelle “résonance”.
 
Si le nombre d’adhérents augmente, le balancier oscille plus vite et plus haut. Sinon, il ralentit puis s’éteint. Toute structure constituée d’organismes vivants relativement homogènes et par nature bien ordonnée peut former un balancier. Tout balancier est destructif par nature parce qu’il prend l’énergie de ses adhérents et leur impose sa puissance.
 
La bataille des balanciers est naturelle et inévitable pour obtenir le plus d’adhérents possibles. Un exemple extrême de cette bataille, est la guerre, mais aussi la rivalité entre partis politiques, la compétition économique, les campagnes de publicité, etc.
 
Pour qu’une personne donne librement son énergie à un balancier, il suffit que son énergie mentale soit sur la même fréquence de résonance que celle du balancier, que cette énergie soit positive ou négative. Il suffit donc de penser à un balancier, en bien ou en mal, pour qu’il nous manipule comme un pantin en tirant sur certains fils, particulièrement efficaces  : la peur, la culpabilité, le complexe d’infériorité, la vanité, etc.
 
C’est pourquoi, plus nous voulons éviter quelque chose, plus nous avons de risques de l’obtenir et nous finissons ainsi par faire advenir dans notre vie ce que nous ne voulons pas. Car dès que nous permettons à l’indésirable de nous affecter, vous nourrissons un sentiment négatif qui va lui permettre de se matérialiser, irradier activement l’énergie du balancier et nous transporter vers la ligne de vie correspondant à la fréquence que nous émettons.
 
Un homme seul ne peut combattre un balancier, seul un balancier peut en défaire un autre. Dans le meilleur des cas, il sera rejeté, dans le pire écrasé, car si l’homme ne se soumet plus au balancier, il n’est plus source d’énergie pour celui-ci. Il y a 2 méthodes pour échapper à la prise du balancier :
 
– le mettre en échec
 
Inutile de combattre la balancier ; ce serait le nourrir avec votre propre énergie. La première condition fondamentale est donc de refuser de vous battre avec lui. La seconde consiste à accepter tout ce qui existe dans ce monde, d’accepter calmement les balanciers comme une chose établie. Accepter et lâcher prise.
 
Car si nous ne voulons pas de quelque chose, il faut arrêter d’y penser, sans quoi l’énergie de nos pensées se fige sur une certaine fréquence, celle où ce que l’on déteste pullule ! Projeter quelque chose hors de notre vie ne signifie pas l’éviter mais l’ignorer. Faire le vide.
 
– le désactiver
 
Faire quelque chose de surprenant, qui ne va pas dans le sens des événements et dont l’énergie entre en dissonance avec celle du balancier, permet de casser son rythme.
 
Une autre méthode intéressante consiste à déterminer ce dont la personne qui vous crée des ennuis à besoin et ensuite de l’imaginer recevant cette chose. Cela remplace instantanément l’agression par la bonne volonté. Car vous résolvez son problème sur le plan de l’énergie. Et l’énergie d’un balancier arrêté va… vers vous, elle vous rend plus fort.
 
Avec cette technique, il est possible de résoudre toutes sortes de problèmes. Mais comme le but du balancier est d’obtenir notre énergie, il fige nos radiations mentales sur un secteur étroit du champ d’information, nous limitant ainsi dans l’élaboration des solutions.
 
Placez-vous en tant qu’observateur externe, soyez vide envers le problème. la solution vous viendra instantanément. vous accéderez ainsi au savoir intuitif. Cela fonctionne si vous êtes capable de vous mettre “en location”.
 
Se libérer de l’influence des balanciers nous donne la liberté mais la liberté sans but est un état suspendu. Certes, nous avons moins de problèmes mais pas de nouvelle réussite. Donc, il faut trouver des balanciers qui sont bons pour nous, autrement dit choisir les lignes de vie où le succès et le bonheur nous attendent.

Chapitre III : la vague de succès

La structure énergétique qui est bonne pour nous, s’appelle la vague de succès. il s’agit d’une accumulation de lignes favorables dans l’espace des variantes. Un événement survient, qui nous est favorable, puis il est suivi d’une succession d’événements inattendus et plaisants, comme si nous avions de la chance.
 
Cette vague de succès nous apporte du bonheur sans prendre notre énergie ; il suffit de l’accueillir lorsqu’elle vient vers nous. En nous approchant de la vague de succès, nous nous éloignons des balanciers destructeurs.
 
Puisque nos pensées nous reviennent toujours comme un boomerang, recevoir et transmettre l’énergie positive, c’est donc créer son propre paradis, et inversement. Il faut donc remplacer nos pensées négatives, qui ont tendance à tourner en boucle dans notre tête, par des pensées positives ; imaginer ce que l’on aimerait avoir plutôt que ce que l’on n’aime pas.
 
Pour rester dans cette vague, il faut regarder les bons signes partout et dans toute chose, se fermer aux mauvaises nouvelles et s’ouvrir aux bonnes. Une attitude positive mène au succès et fait de nous non seulement des récepteurs mais aussi des émetteurs d’énergie.

Chapitre IV : Équilibre

La nature recherche toujours l’équilibre. Or notre énergie mentale donne naissance à des “potentiels en excès” lorsque nous surinvestissons une situation, la dramatisons, lorsque notre perception déforme la réalité. Cela attire des forces d’équilibrage qui apportent le résultat inverse de celui escompté. Par exemple, si nous travaillons de trop, ou si nous sommes constamment dans l’auto-critique, un rééquilibrage va se produire à notre insu qui va nous amener à des échecs, maladies, etc. A l’inverse, un excès d’énergie positive ne se retourne pas contre nous car cette énergie d’amour est incapable de créer de la destruction.
 
Pour parvenir à changer cette habitude qui consiste à exprimer notre insatisfaction et à nous plaindre, il suffit de trouver de petites joies, même dans une situation en apparence négative. Ceci est bien différent de l’Idéalisation, qui est une surestimation, donc attire les forces d’équilibrage. Le mépris, la vanité, le complexe de supériorité ou d’infériorité, le sentiment de culpabilité, la course à l’argent, sont autant de dépenses d’énergie qui créent un potentiel en excès et produisent des relations de dépendance.
 
A chaque fois que nous accordons trop d’importance à une qualité, un objet, un événement, etc. nous créons un potentiel en excès qui attire les forces d’équilibrage. En présence d’un obstacle, il ne faut pas chercher à le surmonter mais à réduire son importance. Il ne s’agit ni de le négliger, ni de le sous-estimer mais d’accepter qu’il existe. De même pour soi, il s’agit de s’accepter tel que l’on est sans exalter ses qualités ou ses défauts. Le potentiel de l’importance s’évapore avec l’action. Ne pensez pas, agissez !

Chapitre V : Une transition induite

Chaque personne est accordée à son secteur de l’espace des variantes. Tous ces mondes sont placés les uns au-dessus des autres, en couches, et constituent ce que nous comprenons comme l’espace dans lequel nous vivons. une réponse à un événement négatif induit le transfert vers les lignes de vie négatives. On est plus vulnérable à une transition induite quand on s’intéresse aux catastrophes, à la guerre, au chômage, aux épidémies, à la pauvreté, etc. car la fréquence de nos radiations mentales s’accorde à celles-ci.

Ce comportement remonte aux temps ou la dynamique de groupe aidait les gens à éviter le danger. L’objectif est de rester éloigné du centre de cet entonnoir, de ne pas laisser entrer les informations négatives, de les ignorer intentionnellement.

Chapitre VI : Le courant des variantes

Le subconscient (l’âme) à un libre accès au champ d’information, c’est de là que viennent les prémonitions, l’intuition, les prédictions, les prophéties, les découvertes et les chefs d’œuvres. L’âme sert de médiateur entre les informations entièrement nouvelles et l’esprit (la conscience) qui utilise des notions bien établies pour interpréter l’information. our faire jaillir les ressentis et savoir intuitifs dans notre conscience, il faut s’entraîner à écouter nos sensations de paix ou d’inconfort intérieur, messages de notre âme qu’il nous appartient de décoder.
 
Il ne faut pas demander ou combattre, mais “aller et prendre”, aller avec le courant, refuser l’importance créée artificiellement, et la solution arrivera d’elle-même. La structure de l’information est ordonnée en liens de causes à effets, qui créent des torrents dans le courant des variantes. Ces torrents s’organisent en chemins de moindre résistance qui contiennent les solutions à tous les problèmes- Il faut donc tout faire de la manière la plus simple et la plus facile, pas forcément celle qui paraît la plus censée.
 
Les signes et présages nous montrent un virage possible dans le courant des variantes mais ils restent difficiles à interpréter. Il est en revanche possible de sonder son propre état d’inconfort. Si nous nous sentons obligés de nous convaincre d’un choix, d’une action, etc., cela signifie que le désir vient de notre esprit et non de notre âme.
 
Transurfing propose de lâcher prise, de desserrer notre emprise et de donner plus de liberté d’action au monde qui nous entoure. De diminuer également l’importance des obstacles pour qu’ils s’éliminent d’eux-mêmes. En refusant de contrôler, nous prenons le vrai contrôle de la situation

J’aime bien 👍

    • Certaines notions me parlent, comme par exemple : nos pensées sont créatrices, nos intuitions sont des guides, l’énergie positive doit être cultivée.

J’aime moins 👎

  • Le transurfing reste une notion fumeuse, sorte d’hybride entre la pensée positive, la Loi de l’Attraction, les enseignements de Eckhart Tolle et ceux du bouddhisme
  • On voit difficilement ce que la  physique quantique a à voir avec le transurfing
  • La preuve scientifique clamée par l’auteur n’est pas apportée
  • L’auteur cultive le mystère

Vadim Zeland

Vadim Zeland est un écrivain russe qui déclare, dans son autobiographie, avoir pratiqué la physique quantique et l’informatique mais peu de données personnelles circulent sur lui. Vadim Zeland a conçu un ensemble de techniques de nature mentale et métaphysique qu’il appelle « Transurfing ». Il se base sur un modèle de l’univers qui combine des éléments de la physique quantique avec l’idée de mondes parallèles.
 
Vadim Zeland a publié cinq livres en Russie (2,5 millions d’exemplaires vendus), quatre d’entre eux ont été traduits en anglais et en français et des séminaires sont organisés dans différents pays. Pour en savoir plus : http://www.transurfing.fr/

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Barbara Reibel Coach Happiness

Barbara Reibel

Coach Happiness, Auteure et Blogueuse
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2 Commentaires

  1. Joel

    Merci pour ce travail

    Réponse

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