Parentalité positive - Éduquer : tout ce qu’il faut savoir par Isabelle Filliozat

Éduquer : tout ce qu’il faut savoir
par Isabelle Filliozat

Société, famille

27 mai 2024

Temps de lecture : 7 min

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Eduquer : tout ce qu’il faut savoir est le plaidoyer d’Isabelle Filliozat pour une parentalité positive. Ni laxisme, ni violence, l’éducation positive est fondée sur la compréhension et répond aux besoins émotionnels des enfants. C’est aussi une obligation légale, depuis la ratification par la France de la Convention internationale des droits de l’enfant.

 

« Plutôt que de reprocher à nos enfants ce qu’ils ne sont pas, nous pouvons les accompagner pour les aider à développer les compétences qu’ils n’ont pas encore. »

 

Isabelle Filliozat

Éduquer : tout ce qu’il faut savoir par Isabelle Filliozat

Lien rémunéré par Amazon

Description de l’éditeur (Robert Laffont, 2024)

 

L’éducation positive n’est pas ce que vous croyez ! Elle montre comment favoriser chez tout enfant l’autonomie, la responsabilité, les compétences émotionnelles, le plaisir de s’exprimer.

Il ne s’agit nullement de n’énoncer aucune règle, de ne jamais dire non à son enfant, de lui laisser tout faire sans limites. Une éducation positive implique un cadre, elle enseigne la tolérance à la frustration. Mais elle refuse la violence, sous ses formes les plus manifestes comme les plus subtiles. Par-dessus tout, elle respecte les besoins, les rythmes et les droits de l’enfant.

Dans ce livre, qui présente le panorama de plus de quarante ans de recherche, Isabelle Filliozat montre de façon lumineuse et simple comment cultiver ses compétences parentales, sans se mettre la pression, sans se culpabiliser.
Pour être un parent heureux et confiant, dans une société plus empathique.

Points clés en 1 mot

 

Dans son livre, Isabelle Filliozat aborde des thèmes essentiels liés à la parentalité, à la santé mentale des enfants et à leur bien-être émotionnel face aux défis modernes, notamment l’usage excessif des écrans. Elle met en lumière la responsabilité parentale dans ce comportement, illustrant comment le manque d’attention et de temps passé avec les enfants peut les pousser à se réfugier dans le monde numérique.

L’ouvrage souligne l’importance de construire une relation solide entre parents et enfants pour réduire leur dépendance aux réseaux sociaux et à la consommation. La parentalité positive y est présentée comme une méthode visant à renforcer cette connexion, permettant ainsi aux enfants de mieux résister aux influences négatives de l’environnement.

Isabelle Filliozat explore également des concepts clés en santé mentale et développement de l’enfant, citant des études scientifiques qui démontrent l’impact du stress infantile sur les disparités de santé à long terme. Elle compare la réduction du stress chez les enfants à l’administration de statines pour prévenir les maladies cardiaques, mettant en lumière l’importance d’intervenir tôt pour promouvoir une meilleure santé globale.

Le livre valorise l’expression et l’accueil des émotions avec empathie comme éléments vitaux du développement sain de l’enfant. Il critique les approches éducatives basées sur la peur, la punition ou le manque d’attention aux besoins émotionnels des enfants, préconisant une méthode plus respectueuse et soutenante.

Entretien Isabelle Filliozat Barbara Reibel

Résumé 

 

Introduction

 

Isabelle Filliozat, psychothérapeute renommée, a grandi dans un environnement « sans violence, sans punition, sans jamais être ni dépréciée ni dévalorisée. ». Elle a très tôt constaté que ce modèle éducatif, basé sur la bienveillance, n’était pas la norme dans les autres foyers.

Aujourd’hui encore, l’autoritarisme et la violence éducative restent prédominants en France. Forte de ses expériences personnelles et s’appuyant sur les recherches menées depuis quarante ans, l’autrice propose une alternative fondée sur la compréhension et le respect de l’enfant.

Éduquer sans violence est non seulement possible, c’est aussi une obligation légale, en conformité avec la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE), ratifiée par la France en 1990.

 

1/9 – L’enfance : une période cruciale

 

L’enfance est une période délicate où se forgent les bases de la vie d’adulte. Le Professeur Vincent Felitti, de l’université de San Diego, a révolutionné notre compréhension des effets des expériences vécues durant cette période. Son étude ACE « Adverse Childhood Experiences » publiée en 1998 montre une corrélation étroite entre les expériences adverses et les conséquences négatives sur la santé mentale et physique à long terme.

 

Quand des parents explosent de colère contre leurs enfants, ce n’est pas parce que ce dernier s’est « mal » comporté ;
la colère était en eux depuis longtemps.

Isabelle Filliozat

Si la violence est clairement nuisible, les parents violents ne sont pas mauvais par nature. Bien au contraire, la compréhension, l’empathie et l’autocompassion sont essentielles à leur égard. Les parents peuvent avoir été victimes de violence dans leur enfance ou être sous pression et se retrouver enfermés dans des schémas d’éducation autoritaire par manque d’information et d’outils appropriés pour gérer leur propre stress.

Isabelle Filliozat rappelle que la violence, sous toutes ses formes, s’inscrit dans un cycle perpétuel où les comportements violents se renforcent mutuellement. Pour rompre ce cycle, il est impératif d’agir à tous les niveaux et d’adopter des méthodes éducatives non violentes, en respectant les lois et en se basant sur la compassion et l’empathie.

 

2/9 – Ne confondons pas stress et trauma : du stress positif au stress toxique

 

Pour l’autrice, les comportements problématiques des enfants sont des manifestations de stress plutôt que de simples actes d’indiscipline. La théorie polyvagale de Stephen Porges, qui décrit les cinq réponses au stress (Fight, Flight, Freeze, Faint, Fawn[1]), sert de cadre pour mieux comprendre ces réactions.

Par ailleurs, la synchronisation des cerveaux explique pourquoi le stress peut être contagieux, notamment dans le contexte de la relation parent-enfant. Les expressions faciales des parents modulent le stress de l’enfant. L’expérience dite du « visage impassible » menée par le psychologue américain E. Tronick sur des bébés de 2 à 9 mois nous enseigne que les interactions synchrones apportent de la connexion et de la joie, tandis que les ruptures dans la relation déclenchent du stress en quelques instants[2].

Elle distingue entre le stress positif, qui stimule l’adaptation, et le stress toxique, qui survient lorsque les exigences dépassent les capacités d’adaptation de l’individu. Ce dernier peut entraîner des problèmes de santé à long terme s’il n’est pas géré correctement.

 

Réduire le stress dans la petite enfance pourrait être un facteur plus efficace
et plus déterminant que l’administration de statines pour diminuer
les problèmes cardiaques à l’âge adulte.[3]

Isabelle Filliozat

3/9 – L’autorité sans violence ni autoritarisme

 

I. Filliozat plaide pour une autorité parentale sans violence. Elle critique la discipline imposée, qui empêche l’autodiscipline et la responsabilisation de l’enfant. Elle prône un passage de l’autocratie à la démocratie dans les relations parent-enfant, où le dialogue remplace les impositions unilatérales.

Elle rejette à la fois le laxisme et la punition, insistant sur le fait que la peur et la honte ne sont pas des outils éducatifs efficaces. Les méthodes comme le « time-out » (la mise à l’écart) sont particulièrement nuisibles, car elles isolent l’enfant et nuisent à son développement socio-émotionnel.

Enfin, le livre aborde le rôle de l’école dans l’enseignement du respect de la loi, soulignant une responsabilité partagée entre les parents et les éducateurs dans la transmission de valeurs fondamentales aux enfants.

 

4/9 – Le cadre et les règles dans la parentalité positive

 

Les limites et les règles jouent un rôle crucial dans la sécurité et le développement des enfants. Bien que les enfants puissent exprimer du ressentiment et de la frustration vis-à-vis des limites, des règles claires et cohérentes leur fournissent une structure sécurisante.

I. Filliozat reconnaît la complexité des dynamiques parent-enfant et appelle à une exploration plus approfondie de ces sujets. Elle mentionne les travaux de Gordon Neufeld et Gabor Maté[4] sur la responsabilité parentale dans l’usage excessif des écrans par les enfants.

La parentalité positive est présentée comme une approche qui vise à renforcer la relation entre parents et enfants, en créant un lien suffisamment fort pour réduire le besoin pour les enfants de chercher refuge sur les réseaux sociaux ou dans la consommation.

 

5/9 – La terrible erreur de Freud

 

Dans ce chapitre, Isabelle Filliozat analyse une controverse de la théorie freudienne, notamment ses premières idées sur le traumatisme et l’inceste, initialement considérées comme les causes des névroses. Freud a abandonné cette théorie pour suggérer que les névroses étaient dues à des désirs inconscients des enfants plutôt qu’à des actes réels d’adultes, privilégiant l’idée de fantasmes sur celle des traumatismes réels. Ce revirement a été influencé par des pressions sociales et personnelles, notamment la peur que son propre père, responsable de troubles psychiques dans sa famille, ne soit taxé de « pervers ».

Cette décision a marqué un tournant majeur et a eu des conséquences durables sur la compréhension des troubles psychiques. Certains exclus des réunions hebdomadaires de Freud à Vienne ont alors jeté les bases de la parentalité positive, prenant en compte les expériences réelles des patients en opposition à la théorie freudienne.

 

6/9 – Contre le mythe de la mauvaise graine

 

Isabelle Filliozat rejette l’idée que certains enfants sont naturellement « de mauvaises graines » ou voués à l’échec à cause de leurs comportements ou difficultés précoces. La parentalité positive vise à écouter et à répondre aux besoins de l’enfant, favorisant une relation positive sans garantir une obéissance immédiate ou une transformation des enfants en « robots dociles »

L’autrice compare une famille à un orchestre, où chaque membre joue un rôle unique et contribue à l’harmonie générale, malgré les moments de désaccord. Elle met l’accent sur l’importance de comprendre et de valoriser les différences individuelles.

I. Filliozat questionne également la recherche incessante de perfection chez les enfants et la tendance des parents à limiter presque exclusivement leurs interactions au quotidien par des mises en garde, des ordres, et des interdictions, suggérant qu’il existe des manières plus enrichissantes de fonder la relation parent-enfant. Au lieu de viser à créer un enfant parfait selon des critères prédéfinis, l’autrice suggère de profiter de la vie ensemble et d’entrer en véritable contact avec son enfant.

 

7/9 – Parentalité positive : mythes et réalité

 

Ce chapitre aborde les nombreux mythes et réalités entourant la parentalité positive, à commencer par le mot lui-même. Le terme anglais « parenting » – que l’on pourrait traduire par « parentage » – est probablement plus adapté car il désigne le fait de répondre aux besoins d’un enfant, tandis que le terme français de « parentalité » décrit simplement les liens de sang.

 

La parentalité positive, c’est bien souvent le parentage naturel.

Isabelle Filliozat

Bien que la parentalité positive ne soit pas un phénomène nouveau, elle est diversement interprétée et appliquée avec différentes intensités. Parmi les notions clés, on retrouve : enseigner au lieu de punir, être sensible aux besoins de l’enfant et y répondre, réguler ses propres émotions et guider l’enfant dans la régulation des siennes.

La parentalité positive, souvent mal comprise, ne prépare pas seulement les enfants aux réalités futures, elle les équipe pour s’adapter et exceller dans divers environnements. Elle ne culpabilise pas les parents mais les outille pour mieux accompagner leurs enfants.

I. Filliozat souligne que la parentalité positive, basée sur l’empathie et la coopération, est particulièrement adaptée aux exigences du monde moderne, où l’autonomie et la créativité sont valorisées.

 

8/9 – Défis contemporains pour les parents et les enfants

 

La société moderne présente des défis uniques. Avec des couples engagés à temps complets dans la vie professionnelle et une augmentation des familles monoparentales, il est essentiel de trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie familiale.

Des initiatives comme la Charte de la parentalité en entreprise, ParentsAtWork, et Family Friendly Company émergent pour soutenir cet équilibre, tandis que la pandémie a exacerbé les défis et offert des opportunités de repenser nos structures de vie.

 

9/9 – D’où viennent les problèmes rencontrés par les enfants d’aujourd’hui

 

Les problèmes des enfants modernes, tels que la difficulté à se concentrer et l’augmentation de l’anxiété, sont liés à des changements de mode de vie et d’environnement. D’autres défis les attendent comme une détérioration de la vue, une diminution du tonus musculaire, et une baisse des capacités cardiovasculaires. L’autrice critique la tendance à blâmer uniquement les parents, soulignant l’importance de comprendre les véritables causes sous-jacentes.

 

Conclusion

 

Isabelle Filliozat dresse un tableau plutôt sombre des défis environnementaux auxquels nous sommes confrontés, notamment en raison du réchauffement climatique. Elle cite, entre autres, le déclin notable de la biodiversité, illustré par la raréfaction des sons naturels comme ceux des oiseaux, des hérissons, et des abeilles, et les phénomènes climatiques extrêmes allant du grand froid à la canicule, sans oublier les inondations et incendies incontrôlables. Or ces enjeux planétaires sont attribués à notre déconnexion croissante de la nature et à notre immersion intense dans le numérique.

En parallèle, l’autrice évoque des problèmes sociaux graves, tels que l’oppression, la discrimination, l’augmentation des inégalités économiques, l’extrémisme, les attentats et une montée de l’autoritarisme, même dans les pays démocratiques d’Europe.

Elle appelle à une prise de conscience et à un engagement pour élever les enfants dans un environnement bienveillant, en valorisant la compassion, l’empathie et le respect des droits de l’enfant.

[1] Fight (combat), Flight (fuite), Freeze (figement), Faint (malaise vagal) ou Fawn (suradaptation).

[2] http://www.sabineduflo.fr/edward-tronick-still-face-experiment/

[3] J. P. Shonkoff, W. T. Boyce, B. S. McEwen, « Neuroscience, Molecular Biology, and the Childhood Roots of Health Disparities : Building a New Framework for Health Promotion and Disease Prevention », Jama, 301 (21), 2009, p. 2252-2259.

[4] G. Mate, G. Neufeld, Retrouver son rôle de parent, Montréal, éd. L’Homme, 2005.

 

À propos d’Isabelle Filliozat

Parentalité positive Isabelle Filliozat

Psychothérapeute du courant humaniste depuis 1982, formatrice et conférencière, Isabelle Filliozat est l’auteure d’une trentaine de livres sur les intelligences émotionnelle et sociale et le soutien à la parentalité, et d’une trentaine d’albums et de cahiers destinés aux enfants et adolescents.
Depuis son best-seller Au coeur des émotions de l’enfant (Lattès, 1999), puis J’ai tout essayé ! (2011), elle s’est imposée comme une figure phare de la parentalité en France.  https://www.filliozat.net/

Table des matières détaillée

 

Introduction

  • Le droit d’aimer et d’accueillir les émotions avec empathie
  • Le temps des réponses
  • Après les droits des femmes, les droits des enfants, « minorité » invisible
  • Pourquoi tout le monde vous donne des conseils et pourquoi ce n’est pas une bonne idée

1 – L’enfance, une période sensible

  • Un médecin curieux et courageux change le monde en dix questions
  • Le risque de retraumatiser est fort
  • Le continuum des violences
  • Éduquer sans violence, c’est la loi
  • Parent sous stress
  • La violence est mauvaise, pas les parents
  • Empathie et autocompassion
  • Changer la culture, protéger les enfants

2 – Ne confondons pas stress et trauma : du stress positif au stress toxique

  • Le stress n’est autre que le syndrome général d’adaptation
  • Notre système de sécurité
  • Lire les comportements à l’aune du stress
  • Les expériences positives protègent
  • Nos cerveaux se synchronisent, le stress est contagieux !
  • Les leçons de l’expérience du visage impassible
  • Nos expressions faciales modulent le stress de l’enfant
  • Trop de stress, bonjour les dégâts

3 – L’autorité s’exerce sans violence ni autoritarisme

  • Plaidoyer pour davantage d’autorité parentale
  • La discipline imposée par les parents empêche l’émergence de l’autodiscipline
  • L’obéissance déresponsabilise
  • De l’autocratie à la démocratie
  • Alors, on discute ? Non plus
  • Le laxisme est une violence
  • Punir est inutile et contre-productif
  • La peur et la honte n’éduquent pas
  • Pourquoi le time-out est désastreux tant pour l’enfant que pour le parent
  • L’école doit enseigner le respect de la loi

4 – L’importance du cadre, du respect de la loi et des règles dans la parentalité positive

 

  • Les interdits sécurisent-ils les enfants ?
  • Le libre arbitre est essentiel aux humains
  • Les enfants détestent les limites mais adorent les règles
  • Savoir refuser quelque chose à un enfant est une compétence précieuse
  • Enseigner la régulation de la frustration est indispensable
  • Une politique zéro tolérance
  • Les enfants ne cherchent pas les limites, ils cherchent leur parent
  • Éteindre le feu plutôt que l’attiser
  • Pourquoi il ne faut pas « trouver un juste milieu entre autorité et laxisme »

5 – La terrible erreur de Freud et ses conséquences

  • Et si Freud avait laissé un indice aux générations futures ?
  • La naissance à Vienne de la parentalité positive
  • Pourquoi la psychanalyse freudienne déteste la parentalité positive
  • L’inceste, totem ou tabou ?
  • De castration en castration…
  • La phase orale
  • La phase anale
  • La phase génitale
  • Et si les mères avaient presque toujours raison ?
  • Il est si facile de culpabiliser une maman
  • La mère est-elle vraiment plus fusionnelle que le père, et si oui, pourquoi ?
  • Un papa maternant, c’est pourtant une bonne idée
  • La parentalité positive produirait des enfants rois, qui tyrannisent leurs parents

6 – Rien n’est écrit d’avance. Contre le mythe de la mauvaise graine

  • Honorer la diversité
  • La parentalité positive ne marcherait pas pour tous les enfants
  • Comment les enfants apprennent et deviennent qui ils sont
  • La construction de la personnalité
  • Les jugements sur les enfants les conditionnent bien plus qu’on ne le croit
  • Se focaliser sur les forces est plus utile que de contrer les faiblesses
  • De l’enfant idéal à l’enfant parfait comme il est

7 – La parentalité positive, catalogue d’idées reçues

  • « Positive parenting » et non « positive parenthood »
  • Des approches variées, dites faibles ou fortes
  • La parentalité positive, ça n’a rien de nouveau
  • Pourquoi les programmes sont utiles
  • La parentalité positive ne préparerait pas l’enfant aux réalités qui l’attendent
  • La parentalité positive culpabiliserait les parents

8 – La société d’aujourd’hui n’est pas tendre, ni envers les parents, ni envers les enfants

  • Pression sociale et ambivalence sociétale
  • Pourquoi la question du travail se pose-t-elle pour la mère et non pour le père ? Et pourquoi se pose-t-elle ?
  • Il faut un village pour élever un enfant et diminuer le sentiment de culpabilité des mères
  • Le perfectionnisme parental entraîne un sentiment de culpabilité et mène à l’épuisement
  • Déculpabiliser les parents et surtout les mères
  • La parentalité positive prévient le burn-out parental
  • Camoufler son stress sous un sourire est une mauvaise idée
  • La pression à l’« enfant sage »

9 – Les vraies raisons des problèmes des enfants d’aujourd’hui

  • Sédentarité et manque de mouvement
  • Soupe chimique et perturbateurs endocriniens
  • Nourriture ultra-transformée, sucre et additifs toxiques
  • Industrie de la puériculture, écrans, publicité… La société de consommation est-elle faite pour les enfants ?

Conclusion

 

Barbara Reibel Coach Happiness

Barbara Reibel

Coach Happiness, Formatrice, Autrice et Blogueuse
Fondatrice du site Happiness Factory et des blogs En 1 mot & Humour Me By Barbara 

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